...SAS.
En effet, la compagnie aérienne scandinave est la pionnière dans " l'éco-atterrissage" .
Depuis le 19 janvier 2006, elle a déjà effectué plus de 600 atterrissages écologiques dans l'optique de mieux protéger notre environnement. Cette période de test se poursuit jusqu'en juin 2007 en Suède sur tous ses Boeing 737.
Dans le cadre de la protection de notre planète, SAS inaugure une nouvelle forme d'atterrissage qui garantit la sûreté des vols tout en réduisant notablement les effets nocifs sur l'environnement.
Comment ? L'éco-atterrissage diminue l'émission de gaz, la consommation de kérosène ainsi que les nuisances sonores émises par l'avion. Pour effectuer ce nouvel atterrissage, l'appareil amorce sa descente plus tôt, laissant les moteurs tourner au ralenti. Il en découle une réduction :
- de l'ordre de 100kg de consommation de kérosène
- de 314 kg l'émission de CO ²
- de 1,1 kg d'oyxde d'azote.
En juin 2007, le projet pourrait être étendu et SAS effectuer ses atterrissages écologiques sur tout son réseau européen. Comme le rélève Tourmag, la compagnie souhaite l'imposer comme procédure standard d'atterrissage.
" Les éco-atterrissages représentent une initiative importante pour rendre la compagnie plus respectueuse de l'environnement " précise Peter Larsson, commandant de bord en charge du projet.
La croissance du trafic aérien mondial en 2006 fut de 5 % avec 2,1 milliards de passagers.
Or le transport aérien est responsable à hauteur de 3 % dans les émissions mondiales de CO², principal gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique.
Aujourd'hui, êtes-vous attentif aux actions entreprises par
une compagnie aérienne comme SAS
un tour-opérateur tel Voyageurs du Monde - VDM compense financièrement l'émission de CO² émis lors de tous les déplacements de ses salariés et invite ses clients à agir de même
ou Ushuaïa Voyages - aucune distribution des offres voyages par catalogue ni prospectus, seulement en agence ou par le web, compensation du CO² incluse dans le prix de ses offres voyages
dans le cadre d'un Tourisme Ethique et du Développement Durable ?